vendredi 2 août 2013

Un peu de ma mémoire (2)

Aujourd'hui, pour la deuxième partie de l'article "un peu de ma mémoire", j'aborde des aspects encore plus personnels : je vais me dévoiler plus "profondément" dans la mesure où je m'éloigne un peu du côté travail pour décrire mon état actuel de façon très générale. Après, promis, je recommence à faire des articles moins longs.

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Côté moral : 
- J'ai quitté cette sensation désagréable de l'hiver, période durant laquelle je n'étais plus moi : j'étais énervée contre tout et tout le monde au lycée, je ne savais plus comment me départir de la colère, de la lassitude, de la saturation et de la tristesse, une grande tristesse sans cause réelle, ou aux causes multiples et confuses. Je ne veux plus retrouver cet état d'esprit, je suis moi de nouveau et ça me soulage. Je vais donc tâcher de ne pas me perdre encore et de conserver précieusement mon optimisme, en essayant d'être particulièrement prudente pendant l'hiver.

- Malheureusement mes émotions sont plus complexes que cela. Ces derniers temps j'angoisse terriblement, pas pour la prépa, mais à cause du temps qui passe. J'ai toujours eu peur de perdre un proche, surtout mes parents, je n'ai jamais osé en parler d'ailleurs, mais ça me terrifie. Je revois des albums photos de quand j'étais petite, je nous vois tous si jeunes, je me dis que le temps a tellement passé et ça me fait peur... La peur de la mort des autres prend beaucoup de place dans mon existence, je m'imagine âgée, accablée par les pertes, je me dis que tout ça sera dans longtemps, mais que ce moment arrivera tôt ou tard, et j'en pleure parfois. Ça paraît peut-être stupide, mais c'est pourtant une terrible angoisse chez moi, qui ne devrait pas exister puisque je n'ai jamais perdu de proche. Mais je ne peux pas contrôler mes pensées, sinon bien évidemment je choisirais de ne plus jamais penser à ça.

- La susceptibilité / les larmes : je me mets en colère très très vite, parfois il arrive que je m'emporte contre quelqu'un sans savoir pourquoi il m'énerve à ce point, puis je me rends compte que je n'ai aucune raison de lui crier dessus - mais ça ne me calme pas pour autant. J'aimerais réussir à être plus sereine, mais ce n'est pas si facile. Quant aux larmes, je dirais que je suis une grande pleureuse, mais seulement chez moi. Je déteste pleurer devant les autres donc je ne le fais pas.

- Le piège de l'habitude : quand j'étais petite, avec mes parents nous faisions souvent ce que nous appelions des "soirées ciné", il s'agissait simplement de regarder un film tous ensemble. J'adore regarder un film, le soir surtout. Mais j'ai tellement regardé de séries et de films que l'habitude est venue s'installer et que cette activité ne me procure plus autant de plaisir qu'avant. Maintenant quand je regarde simplement un film, une partie de moi est contente, l'autre s'ennuie. Alors qu'avant ces moments me soulageaient de mes angoisses ou de mes coups de blues, aujourd'hui leur effet bénéfique sur mon humeur a diminué. L'habitude touche tout et il faut sans arrêt renouveler tout ce qui rend très joyeux pour continuer de l'être avec la même intensité. Il y a donc eu l'époque lecture, puis l'époque film, et enfin l'époque films / séries pour me rendre vraiment heureuse et me détendre, aujourd'hui la lecture s'est un peu éloignée du bien-être profond, je suis habituée aux films / séries, il me faut trouver de nouvelles sources de joie quotidienne, au risque de voir les coups de blues revenir. Je ne voudrais pas que vous me preniez pour quelqu'un d'intolérant, incapable de se satisfaire de ce que j'ai. Mais j'ai très souvent des coups de blues, sans trop savoir pourquoi - je pensais que depuis le collège ces moments étaient moins fréquents, mais ils sont revenus - et j'essaie donc toujours de trouver des moyens de lutter contre ces moments-là par une bonne distraction. 

- Mon rapport aux autres : j'aime beaucoup les autres, et sauf rares exceptions, si quelqu'un m'apprécie et me montre qu'il m'apprécie, j'aurai tendance à l'apprécier aussi. Par contre, pour que je considère quelqu'un comme un véritable ami, il faut qu'il y ait quelque chose entre nous, quelque chose qu'il est difficile à trouver. J'ai gardé deux amies du collège, et encore celles-ci me décevaient souvent. Mais ces amitiés se sont renforcées grâce au temps, et aujourd'hui je suis contente de les avoir. J'ai trois amies au lycée. Dans ma vie j'ai croisé plein de personnes géniales, qui peuvent être appelées "amies" au sens très large, mais pour que j'apprécie une personne au point de me sentir vraiment bien avec elle, de sentir que notre relation est profonde, il faut plus qu'une simple bonne entente. Ça ne se commande pas, c'est comme ça, je crois que ce type d'ami-là est rare. Je ne sais pas si je rencontrerai ce type d'ami cette année, mais ma meilleure amie, une vraie amie, sera avec moi donc c'est génial. 

- Il y a une adulte que j'adore, que j'ai rencontrée quand j'étais au collège, c'est une amie de mon père à la base, comme je l'adorais je l'ai vue quelque temps en tant que psychologue (c'est son métier) au collège, puis j'ai arrêté, mais j'ai continué à la voir de temps à autre quand elle venait chez nous, et je l'apprécie tellement que c'est dur de vous l'expliquer. Les gens trouvent ça bizarre quand j'en parle, qu'on puisse se sentir aussi bien en présence d'un adulte hors famille. Pourtant c'est toujours un plaisir de la voir, et je ne sais pas si c'est dû à sa personnalité, à son métier, ou aux deux, mais j'ai vraiment l'impression qu'elle me comprend, sans que j'aie besoin de me confier vraiment, et ça fait du bien de se sentir compris. On a passé le nouvel an chez elle (avec son mari et leurs deux enfants), puis je l'ai revue une fois peu après les résultats du bac, mais très rapidement, une dizaine de minutes seulement. J'aime beaucoup discuter avec elle et je me sens mieux après l'avoir vue. Je suis souvent triste de ne pas la voir, j'aimerais avoir l'occasion de discuter avec elle, pendant un long moment, seule, pour parler de tout, mais ça fait longtemps que ça n'a pas été possible (et comme je n'ose pas trop parler de ce que je ressens, ça ne risque pas d'arriver - par ailleurs, si elle m'apprécie beaucoup, je doute que ce soit autant que moi je l'apprécie).

- Malgré le moral qui fait des vagues, je crois quand même avoir gardé cette capacité de me réjouir de façon très intense pour beaucoup de choses. Par exemple, je suis toujours ravie de mes notes du bac, surtout la philo. Réussir à être fière de ce que je fais est une source de joie pour moi. C'est ce qui me pousse à travailler et à faire des efforts parce que sentir que les autres sont fiers de moi ou que moi-même je le suis, c'est une motivation suffisante pour me donner le sourire et me pousser à me dépasser encore plus. 

- Le blog : beaucoup de choses me lassent, comme je l'évoquais avec ce terme d'habitude. Seulement le blog, lui, ne m'a jamais lassée et j'en suis très contente. Depuis la seconde, ça a été mon pilier, il me permet d'échanger avec d'autres, d'y voir plus clair, de me vider le cœur. Il me permet aussi de m'analyser moi-même, comme je le fais aujourd'hui, et ça fait du bien de pouvoir se retrouver, comprendre ce qui ne va pas, essayer d'aller mieux grâce à l'écriture. C'est aussi ma mémoire. J'ai de très mauvais souvenirs de mon passé, ce qui me rend extrêmement triste parce qu'il y a des événements dont je voudrais tellement me rappeler alors qu'il ne m'en reste plus rien. Je ne parle pas de ma vie personnelle ici, ou très peu, mais à partir de ce que j'y révèle je serai en mesure de retracer un peu mes années lycée, puis mes années prépa, et celles d'après. Ce blog, c'est probablement la plus belle idée que j'ai eue ces dernières années, c'est une merveilleuse expérience.

- La pensée : je ne m'étais jamais fait cette remarque avant, mais je me rends compte que je pense énormément, tout le temps (d'où cette véritable obsession à chaque fois que j'attends impatiemment des résultats : APB, le bac...), c'est difficile pour moi de me vider l'esprit, ce qui explique aussi pourquoi je n'arrive pas à me concentrer quand je lis. Comme je n'attends plus de résultats, en ce moment mes pensées sont focalisées sur la prépa, tout le temps, ce qui ne me dérange pas tant que ça mais j'ai peur que mon esprit s'épuise et je désespère de ne pas réussir à mieux "équilibrer" mes pensées. Je me pose trop de questions en général, mais là encore ce n'est pas contrôlable, et je pense trop aux études parce que je ne sais pas à quoi penser d'autre (ce qui est un peu désespérant).

- Une remarque amusante : apprendre un poème par cœur me détendrait presque parce que la concentration que cela exige m'empêche de penser à autre chose. Et paradoxalement, quand je suis fatiguée, j'arrive mieux à apprendre par cœur qu'à lire simplement (je m'endors à moitié sur mon livre). Je vais approfondir un peu cette simple observation pour voir si je peux en tirer quelque chose d'intéressant (apprentissage par cœur pour aider l'esprit à ne pas se disperser et à se calmer un peu ? Expérience que je vais tester !).

- La nouveauté, le changement : je vous avais déjà dit que j'aime bien être un peu stimulée pour ne pas m'ennuyer ou être triste, et cela peut passer par la recherche de nouvelles idées. Qu'est-ce que j'entends par là ? Je ne sais pas, peu importe. De petites idées qui vont changer mon quotidien, ma façon de faire telle ou telle chose, de ressentir ça ou ça, qui vont amener ne serait-ce qu'un très léger changement, tant que cela arrive souvent (par exemple, cette idée de l'apprentissage par cœur, ça compte). Des infimes modifications dans mon mode de vie, mais souvent, l'expérimentation de nouvelles méthodes, tout ça j'adore. Et l'hypokhâgne va probablement me forcer à modifier toute mon organisation donc ce n'est pas plus mal !

- Cette année, j'ai peur que la prépa me déprime, pas à cause de la dose de travail, mais de façon indirecte. Je suis de nature très sensible, très émotive, et le problème c'est que si je dois beaucoup travailler je n'ai pas le temps, à la place, de faire quelque chose pour me détendre et me soulager l'esprit. Le défi sera alors de trouver du réconfort dans le travail et de changer mon état d'esprit de telle sorte à ce que je voie dans ce travail une source de distraction. Pour cela, il faudrait que j'arrête de penser autant, de me poser autant de questions, afin de pouvoir, quand je travaille, être véritablement plongée dans ce que j'étudie et être absorbée par ce que je fais (ce qui éviterait aussi les pensées telles que "j'en ai marre je veux faire autre chose"). C'est donc un changement de fond que je veux opérer, pour réussir à modifier mon état d'esprit, ma vision des choses, ma façon de penser. Bref, je suis un peu trop ambitieuse, mais j'essaie de vous décrire au maximum tout ce qui se passe dans ma tête, et l'idéal à atteindre, mais bien sûr j'ai bien conscience qu'il y a des obstacles auxquels je me heurterai toujours.

- Je crois avoir fait le tour de mon état actuel, mais peut-être avez-vous des questions ? On a jamais fini d'explorer sa personnalité, je suis sûre que j'aurais encore des dizaines de choses à dire si j'y réfléchissais davantage, mais je crois que cela suffira pour aujourd'hui. 

16 commentaires:

  1. Le deuxième point, il faut absolument que tu travailles dessus parce que c'est pas normal d'avoir une peur comme ça (pas à ce point-là en tout cas), et ça fait déjà plusieurs fois que tu le mentionnes.

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    1. Je sais que ce n'est pas normal mais ça fait des années que j'ai ce problème-là et je ne peux pas changer mes pensées et mes craintes malheureusement. Si j'avais le choix je choisirais évidemment de ne pas penser à ça.

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    2. Appelle Freud, il va trouver d'où ça vient.

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    3. Je ne pense pas qu'il y ait une cause particulière, cela dépend de la personnalité et de la sensibilité.
      (Je n'apprécie pas spécialement Freud)

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  2. Contrairement à Célia, je ne pense pas qu'avoir peur de la mort soit quelque chose d'étrange, et je ne pense pas que ce soit là dessus qu'il faille te concentrer, si tu es dans un optique de travail sur toi. C'est une peur fondamentale humaine, la mort, d'autant plus quand on tient aux gens ; je pense que le problème, c'est plus ta sensibilité (comme tu le soulignes à plusieurs reprises). C'est comme ça qu'on angoisse moins, et surtout qu'on apprend à gérer le flux qui nous envahi. Enfin c'est comme ça que je fais, moi.

    Sinon, j'ai une très bonne amie qui est adulte, et j'ai toujours eu l'impression de mieux m'entendre avec eux. C'était ma prof de chant, et je dois dire qu'elle m'a sauvée la vie à plusieurs reprises. Je comprends qu'on puisse entretenir une amitié avec quelqu'un de plus vieux, donc.

    La poésie a cette fonction d'occupation et d'apaisement. Je l'ai beaucoup utilisé comme ça, en tout cas. Quand je perds la tête, que je tombe dans les pommes, ou que j'ai un peu bu, j'essaye de me réciter les poèmes que je connais par coeur, pour rester debout/consciente. La poésie peut être thérapeutique.

    En prépa, tout est une question d'équilibre, et c'est ce qu'il y a de plus difficile à trouver, au début. Favorise l'organisation dans ton boulot, ça aide à gérer les débordements émotionnels.

    Bonne journée !

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    1. C'est sûr qu'il faudrait que je travaille un peu sur ma sensibilité, mais ce n'est pas si facile, je pense être comme ça depuis toujours et surtout, c'est aussi cette même sensibilité qui me permet de profiter à fond des moments, des gens que j'aime. Mais c'est vrai qu'étant donné que c'est aussi un problème il faudrait que je trouve un équilibre.

      Ca me rassure ce que tu me dis, je commençais à me demander si c'était aussi bizarre que ça d'autant apprécier une personne adulte !

      Après pour ce qui est de la poésie, le problème c'est que je n'en ai jamais vraiment lu, et donc quand je lis quelques poèmes ça ne me parle pas vraiment (ou je ne comprends carrément rien). Du coup je n'arrive pas vraiment à être contente d'en lire un. Je suis plutôt du genre à lire des romans d'ados pour me détendre, rien de tel qu'un petit voyage dans un autre monde pour se vider l'esprit (en ce moment je relis la trilogie du livre des étoiles de Erik l'Homme... à partir de 10 ans, mais peu importe !). Par contre c'est courageux de ta part de te réciter des poèmes pour rester consciente, je crois que dans cette situation je serais plutôt du genre fermer les yeux pour laisser mon esprit se reposer un peu.

      Et, pour ton dernier point... L'organisation du boulot ça n'a jamais été mon fort malheureusement ! J'ai toujours tellement procrastiné que ça a généré pas mal de stress et de travail intensif à la dernière minute (par exemple, j'ai vraiment commencé à révisé le bac après mon épreuve d'histoire-géo en anglais, le mardi après-midi pendant la semaine de révisions => panique à bord). Mais, même si je dis ça tous les ans, je vais essayer de mieux gérer mon travail cette année parce qu'effectivement ne pas être organisée n'aide pas trop à gérer les débordements émotionnels.

      Merci pour tes conseils !

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  3. Merci de ta visite ! Je suis déjà passée plusieurs fois par ici, mais j'avais pas vraiment osé commenter. Franchement, je t'admire d'entrer en B/L, moi j'aurais jamais pu (déjà parce que j'ai fais un Bac L, mais surtout parce que j'aurais très rapidement été larguée en maths...).

    Je t'avouerais que moi aussi j'ai très peur de la mort et ce depuis toute petite. C'est quelque chose qui me terrifie. Je rêve parfois que je perds un proche, et je me réveille généralement en larmes. Je pense que c'est assez normal dans le sens où je tiens aux gens qui m'entourent et que je ne veux pas les perdre. Du coup, j'essaye de prendre sur moi et de passer le maximum de temps avec les gens que j'aime.

    Pour ce qui est du travail, je pense que la prépa change complétement du lycée (d'après ce que j'ai lu sur les blogs d'anciennes hypokhâgneuses), donc on apprend des choses qui nous passionnent. Du coup, tu arriveras sûrement à trouver du réconfort dans ton travail. Je souhaite que ce soit vrai en tous cas, parce que je suis d'une nature assez fainéante. C'est-à-dire qu'en général j'attends la dernière minute pour faire quelque chose que je n'ai pas envie de faire. Par contre, si j'aime ce que je fais, je passer des heures et des heures à travailler sans m'en rendre compte !

    J'aimerais pouvoir suivre ton blog, même s'il passe en privé, est-ce que ça serait possible?

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    1. Et merci de la tienne ! C'est dommage que tu ne sois pas venue commenter pour me donner l'adresse de ton blog :)

      C'est gentil, mais tu sais c'est tout aussi honorable d'aller en A/L, ça dépend des goûts de chacun : de mon côté je déteste la géo et je n'aimais pas spécialement le latin, à côté j'aime les maths même si je vais galérer et j'adore l'SES aussi donc le choix était vite fait ! En fait j'adore avoir des matières très très différentes les unes des autres alors la B/L me convenait parfaitement.

      Ah oui ça m'est déjà arrivée de rêver de la mort d'un proche, parfois ça ne me fait rien dans le sens où le rêve est tourné tellement bizarrement que ça fait faux, mais d'autres fois on se retrouve déprimée bien après le réveil !

      J'espère trouver du réconfort dans le travail oui, mais je sais aussi qu'en général j'en trouve encore plus devant une bonne série alors c'est difficile de résister à la tentation ! Enfin je pense aussi que quand j'aurai trouvé une bonne méthode de travail, qui me permette d'aller plus vite (en fichant ou en lisant par exemple) j'arriverai à me plonger encore plus dans mes cours et à aimer vraiment (il vaut mieux héhé). Tu es donc aussi une procrastinatrice, on se ressemble !

      Oui bien sûr tu peux suivre mon blog s'il passe en privé par contre tu peux m'envoyer un mail pour que j'aie ton adresse mail ? emotions.ocean@gmail.com

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    2. Oui, tu as raison. En fait je ne pense pas non plus qu'il y ait une prépa meilleure qu'une autre, il suffit de trouver celle qui nous convient, où on peut s'épanouir et réussir. Et je sais que je ne pourrais jamais réussir en B/L.

      Je ne pense pas non qu'il faille arrêter toute distraction en prépa. J'adore regarder des séries anglaises en streaming sur le web, et je n'ai pas l'intention d'arrêter l'année prochaine, même si c'est sûr que je le ferai moins régulièrement que cette année. Je vais donc aussi essayer de trouve LA bonne méthode pour continuer à avoir une vie en dehors de la prépa (c'est possible ça ? ^^). Et oui, la procrastination est inscrite dans mes gênes :)

      Pour le mail, c'est fait !

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    3. Enfin je veux dire dans mes "gènes" ^^

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    4. Et moi je ne pense pas que je pourrais réussir en A/L, par rapport à ce que j'aime la B/L est une filière parfaite pour moi !

      Oh on trouvera bien un moyen de continuer à regarder nos séries de temps en temps ! Le tout c'est de réussir à s'habituer à en regarder moins. De mon côté je compte occuper mes samedis soirs aux films / séries, si je travaille bien l'après-midi puis le dimanche ça devrait être possible :)

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    5. Idem, le samedi soir me paraît parfait pour ce genre d'activités. Il est certain qu'on en regardera forcément moins, mais moins ne veut pas dire pas du tout ^^
      Tu regardes quoi comme série?

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    6. Alors mon grand coup de cœur c'est Vampire Diaries, j'ai vu et revu les trois premières saisons (mais déçue par la quatrième), je regarderai donc la cinquième saison cette année et The originals (la série dérivée), sinon j'aime bien Lost (il y a une saison que je n'ai pas vue), Desperate Housewives (tout vu), Grey's Anatomy (je n'ai pas encore vu la dernière), Glee (mais parfois c'est un peu long), j'ai aussi regardé une saison et demie de Gossip Girl je continuerai peut-être si l'envie me prend, pareil pour les frères Scott. J'ai vu la saison 1 de "Saving Hope", je l'ai regardée pour Daniel Gillies que j'aime bien mais bon c'était pas captivant. Il y a aussi des séries que j'ai vues à moitié, un épisode par-ci, un épisode par-là, comme Smallville. Voilà tu sais tout !

      Et toi ?

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    7. Et bien je n'ai en commun avec toi que Lost. Sinon je regarde plutôt des séries anglaises comme Sherlock, Doctor Who, Downton Abbey, The Hour (la série s'est arrêtée mais pour l'instant je n'ai pas tout vu encore), et puis aussi Hero Corp (enfin je viens juste de voir les deux premiers épisodes), et Merlin de temps en temps.

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    8. J'adore tes séries Bobbie ! Je les suis toutes sauf The Hour. C'est super Hero Corp ! (Je ne reviendrai pas sur Downton Abbey ou Sherlock, leur génialité est de notoriété publique !)

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    9. Contente de voir que tu aimes aussi ! The Hour c'est vraiment pas mal (et en plus c'est avec Ben Whishaw, et il est très très très beau ^^). Et pour Downton Abbey et Sherlock, c'est vraiment le summum de la série anglaise réussie en effet !

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